
En longeant les autoroutes françaises, difficile de ne pas être frappé par ces immenses domaines agricoles, d’un seul tenant, qui s’étendent à perte de vue.
En Wallonie, la réalité est toute autre.
Un de nos clients agriculteurs recense… plus de 500 parcelles différentes dans son patrimoine. Un véritable casse-tête lorsqu’il s’agit de réaliser une planification successorale :
✔️ certaines terres sont cultivables,
✔️ d’autres sont constructibles,
✔️ certaines encore… ne sont que des mares, des étangs ou des servitudes pour accéder à une autre parcelle,
✔️ et la valeur peut atteindre plus de 100.000 € l’hectare.
La conséquence ? Même si bon nombre d’agriculteurs vivent chichement, beaucoup sont assis sur un patrimoine foncier considérable… mais morcelé à l’extrême.
Comment transmettre équitablement ce type de patrimoine alors que les liquidités sont souvent inexistantes ?
C’est précisément l’un des défis auxquels Sogef est confronté chaque jour.
Et parfois, nous nous surprenons à rêver de remembrements qui simplifieraient bien des transmissions.
En attendant, il reste essentiel d’anticiper et de planifier, pour éviter que ce morcellement ne se transforme en conflits familiaux.
Sogef : une solution juste pas juste une solution.