
L’actualité fait grand bruit : Anthony et Alain-Fabien Delon viennent de remporter une victoire judiciaire majeure dans le conflit qui les oppose à leur sœur Anouchka au sujet de la succession de leur père Alain Delon.
Concrètement, la Cour de justice du canton de Genève a jugé recevable leur appel visant à révoquer l’un des exécuteurs testamentaires qu’ils estiment en conflit d'intérêt.
Cela ne constitue pas un jugement sur le fond du contenu des testaments, mais cela permet que leur contestation soit examinée en détail.
Ce rebondissement s’inscrit dans un contexte complexe et fortement médiatisé :
✔️ Un premier testament (2015) attribuait 50% des biens à Anouchka, 25% à Anthony et 25% à Alain-Fabien ;
✔️ Un second testament (novembre 2022), rédigé en Suisse, accordait à Anouchka l’exclusivité des droits moraux sur l’image, le nom et l’œuvre de leur père ;
✔️ Alain-Fabien conteste ce testament ainsi qu’une donation de 2023, estimant que l’état de santé de son père à l’époque ne permettait pas un consentement éclairé. Une audience est d’ailleurs prévue le 9 mars 2026 devant le tribunal judiciaire de Paris.
Ce que cela rappelle chez Sogef :
Ce cas très médiatisé montre combien un patrimoine peut devenir un champ de bataille lorsque les intentions du futur défunt ne sont pas clairement formalisées.
Transmettre un héritage ne consiste pas seulement à répartir des biens, c’est aussi préserver un équilibre familial.
Sogef agit en amont pour anticiper ces risques :
✔️ Définir clairement ce que chacun souhaite transmettre et dans quelles conditions ;
✔️ Assurer une rédaction juridique solide, résiliente aux contestations ultérieures ;
✔️ Protéger la cohésion familiale, même après le décès, au moyen d’une stratégie patrimoniale adaptée.
Un héritage n’est pas qu’une question de droits : c’est un enjeu de vie, d’histoires familiales et d’équité.
Sogef : Une solution juste, pas juste une solution