
Chez Sogef, nous savons que la planification successorale ne se limite pas à transmettre un patrimoine. Parfois, elle consiste à protéger ses proches… d’un héritage empoisonné.
L’histoire d’Antoine, relatée dans La Libre, en est une illustration frappante. Un matin ordinaire, il découvre dans son courrier une facture d’assurance à son nom… qu’il n’a jamais souscrite. Intrigué, il enquête, et découvre bientôt une série de factures d’hospitalisation pour des montants astronomiques. Le point commun ? Elles concernent son père, qu’il n’a plus vu depuis l’âge de 4 ans, et qui vient de décéder.
Sans le savoir, Antoine est devenu héritier… et donc potentiellement responsable des dettes de son père. Heureusement, bien conseillé, il a pu refuser la succession à temps, évitant ainsi des années de remboursement.
Aujourd’hui, la procédure est plus simple : une déclaration de renonciation peut être faite via un notaire et elle est gratuite si la succession est inférieure à 6.093,20 €.
Dans certains cas, refuser une succession peut même être un outil stratégique – comme dans le cadre d’un saut de génération – permettant de transmettre l’actif successoral directement aux petits-enfants, tout en réduisant les droits de succession.
Mais attention : les règles varient selon les régions (Wallonie, Bruxelles, Flandre), et chaque situation mérite une analyse sur mesure.
Sogef vous accompagne dans vos choix essentiels, qu’il s’agisse de sécuriser votre avenir ou celui de vos enfants.
Une succession bien gérée, c’est une tranquillité assurée.
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