« Il le regrettera jusqu’au jour de sa mort… si tant est qu’il vive jusque-là ! »
— John Wayne, L’Homme Tranquille
Chez Sogef, on aime ce genre de répliques.
Elles font sourire… et surtout nous rappellent que repousser sa planification successorale, c’est ouvrir la porte à de vrais regrets.
- Des héritiers qui se découvrent… ennemis.
- Des volontés mal exprimées, voire oubliées.
- Des autorités fiscales qui n’ont, elles, aucun état d’âme.
Alors oui, le sujet est sérieux. Très sérieux.
Pour prolonger le lien avec le monde du cinéma, mon associé Vincent dit souvent que tant que l’on vit, on est en train de filmer. On peut tout organiser, agir, négocier car rien n’est fixé. Le scénario peut encore être modifié, comme lors du tournage d’un film.
Au moment du décès, tout se fige.
Tout ce qui est écrit ou non écrit est arrêté (ad vitam æternam) et il n’est plus possible de changer une seule ligne pour améliorer la situation et/ou éviter les écueils. On est face à une photo non modifiable.
Bref, il vaut toujours mieux agir avant que le testament (ou son absence) et les dispositions légales se mettent à transformer le scénario imaginé en western familial.
On en discute ou on regrette d’avance ?
Sogef SRL : Une solution juste, pas juste une solution.