Souciez-vous du futur de votre patrimoine, faute de quoi l'État le fera

publié le 06/06/2024

Label(s) :  droits de succession

Il semblerait que l'écriture provienne d'une contrainte générée par la naissance de l'agriculture et la fin d'un certain nomadisme.
Avant le néolithique, il n’y avait aucune raison de devoir transcrire, sur un support, le niveau des vivres et des stocks ou d'indiquer de façon durable ce qui appartenait à qui, ou à qui il devait être transmis.


À l'époque de la chasse et de la cueillette, les seules choses qui se transmettaient étaient le travail du silex, l'art de bien chasser et de choisir les meilleurs fruits et racines. L'oralité était l’usage et la mise en œuvre par mimétisme suffisait.

Même si les premiers dessins retrouvés sur les murs des cavernes représentent souvent des scènes de chasse, il est peu probable que ces traces soient nées d'une envie de transmettre ou de vouloir quantifier le nombre de bêtes sauvages disponibles.

En revanche, durant la période néolithique, avec le concept de stock (né pour les besoins de l'agriculture) est arrivée la nécessité de dénombrer les vivres, d'en faire les additions et d'inscrire les résultats sur des supports.

Celui qui détenait l'un de ses supports était alors, a priori, le propriétaire.

En synthèse, ces écrits ont ainsi permis d'organiser le présent en fonction du passé quantifiable.

Plus tard, l'homo sapiens s'est rendu compte qu'il pouvait également avoir une influence sur le futur en écrivant ses dernières volontés sur un support.

Il pouvait alors agir sur ce qui devait être effectué avec ses stocks s'il venait à mourir.

État létal qui arrivait autant que maintenant. À ce niveau, même si l’on meurt bien plus tard qu'au temps du monde préhistorique, nous sommes toujours aussi nuls ????.

Le principe testamentaire est donc aussi fille de l'agriculture et peut-être l'un des mécanismes juridiques les plus anciens de l'humanité.

Pourtant, en 2024, bien peu de familles ont compris ce pouvoir (et l'utilité) d'agir sur le futur.

Conséquence, lorsque personne ne s'en soucie, quelqu'un d'autre prend le relais. Par défaut, en matière patrimoniale, c'est toujours l'État… qui ne s'oubliera pas et se servira.

Or, vous pouvez agir au lieu de subir ou, pire encore, de faire subir à vos héritiers la gourmandise des administrations fiscales.

On s'appelle ? C'est notre métier d’organiser votre futur patrimonial.

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